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Dépassées par l’envolée des prix de l’énergie depuis quelques mois, les autorités européennes tentent de s’attaquer à la source du problème. En effet, Bruxelles envisage notamment de plafonner les revenus des producteurs d’énergie qui n’utilisent pas du gaz naturel. Ce projet, bien qu’ambitieux, pourrait pénaliser les exploitants de barrages hydrauliques.
En 2021, l’Algérie constitue le troisième fournisseur de gaz naturel de la France. Le pays assurait alors 8 % des importations françaises. Face à la dégradation des relations avec la Russie, l’Hexagone tente de négocier une hausse de 50 % des quantités livrées par son partenaire algérien. L’issue des discussions demeure incertaine.
Si l’Italie, la Grèce, l’Irlande et la Hongrie programment une sortie progressive du charbon pour les 10 prochaines années, en privilégiant la production d’électricité à partir du gaz naturel, 7 autres pays européens envisagent de faire tourner leurs centrales à charbon jusqu’en 2030. Il s’agit de la Pologne, la Bulgarie, la Slovénie, la Roumanie, la République tchèque, la Croatie et l’Allemagne.
Veolia vient de franchir une étape cruciale dans son développement en se portant acquéreur de Pražská Teplárenská (PT), une entreprise qui appartenait auparavant à Energetický a Prumyslový Holding a.s. Grâce à cette opération, le groupe français spécialisé dans le chauffage accapare une importante part de marché à Prague, en République tchèque.
26 millions de foyers peuvent bénéficier de l’Internet très haut débit en France. En plus de la fibre optique, il existe différentes technologies qui permettent de profiter d’un débit supérieur ou égal à 30 Mb/s.
Plus d’un million de foyers dans le Nord-Pas-de-Calais basculeront vers du gaz norvégien d’ici à la fin de l’année. C’est l’objectif que s’est fixé le gestionnaire de réseau GRDF qui met actuellement tout en œuvre pour l’accomplissement de cet ambitieux dessein visant essentiellement à remplacer le gaz B hollandais alimentant les chaudières des ménages.
Si certains pays comme l’Australie, les États-Unis et l’Inde ont accéléré le développement de l’électricité issue de l’énergie solaire en 2019, une centaine d’autres ne sont pas encore prêts à abandonner le charbon. Certes, la production d’énergies renouvelables a connu une hausse ces dernières années, mais le charbon tient toujours la première place en termes de capacité (2 089 GW). Celle de l’énergie solaire reste limitée à 651 GW et l’éolien à 644 GW. Le gaz et l’hydraulique occupent la seconde et la troisième place avec respectivement 1 812 GW et 1 160 GW.
Avec le passage au numérique, les ondes hertziennes semblaient promises aux oubliettes. Pourtant, elles reviennent sur le devant de la scène en reliant à l’Internet très haut débit les zones rurales où la fibre optique et l’ADSL ne sont pas encore déployés. Dans la région Pays de la Loire comme à Bourgogne-Franche-Comté, l’Internet par ondes radio a trouvé son public.
Le gouvernement français a fait de la transition énergétique l’une de ses priorités. L’initiative du centre-bus RATP de Thiais s’inscrit parfaitement dans cette démarche, ce dernier ayant choisi de faire rouler ses véhicules uniquement au gaz naturel. Le sujet suscite les inquiétudes des riverains, mais la RATP assure que ce sera sans danger et n’apportera que des bénéfices.
Avec ses nombreux bureaux et surtout ses centres de données, Google fait partie des plus grands consommateurs d’électricité. Qu’à cela ne tienne, sensible aux problèmes climatiques actuels, le célèbre moteur de recherche s’engage à réduire de manière drastique son empreinte carbone, et ce, en alimentant ses installations – qui tournent en permanence – avec de l’électricité verte.
Le rapport du Statistisches Bundesamt (office allemand de la statistique) fait état d’une hausse considérable de la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique d’outre-Rhin au cours du premier semestre de cette année. En effet, les énergies d’origine éolienne et solaire ont fourni plus de la moitié de l’électricité consommée en Allemagne au cours de cette période.
Les consommateurs français font aujourd’hui figure de privilégiés pour ce qui est du prix de l’électricité, comparé aux autres citoyens européens. Mais jusqu’en 2009, ils jouissaient d’une situation encore plus favorable. À partir de 2010, ils ont vu leurs factures grimper de manière régulière, en grande partie à cause des taxes. Coïncidence ou pas, cette période correspond aussi à l’ouverture du marché aux acteurs privés.
Dans le récent classement mondial dressé par Cable, la France figure dans les cinquante pays où les performances de l’Internet sont particulièrement élevées. Cette constatation résulte des données recueillies lors de cette étude annuelle sur les débits moyens d’Internet dans plus de 200 pays à travers le monde, sur une période allant de juillet 2019 à juin 2020.
Les phases beta menées Starlink ont permis de vérifier les performances de son réseau internet par satellite. D’après les essais, les débits descendants peuvent atteindre 60,24 Mbit/s et les débits ascendants 17,64 Mbit/s. La plus faible vitesse de téléchargement mesurée est de 4,58 Mbit/s en débit montant et 11,38 Mbit/s en débit descendant. Les latences varient de 31 à 94 ms.
Toutes les générations des Luxembourgeois sont accros à Internet. Il s’agit là de l’enseignement principal que l’on pourrait tirer du récent rapport du Statec (Institut national de la statistique et des études économiques du Grand-Duché de Luxembourg) publiant des données chiffrées indiquant que la grande majorité de la population ne peut plus s’en passer.
La Turquie déclare avoir réalisé une importante découverte de gisement de gaz naturel en mer noire à une distance de près de 100 miles marins au nord du pays.
La France a vu des points positifs en la chute de la consommation d’énergie au deuxième trimestre 2020. C’est du moins, ce que l’on pourrait retenir d’un récent rapport ministériel portant sur ce sujet. Celui qui a mis en exergue les différents éléments pointant dans cette direction comme la baisse de la facture énergétique ou la chute du niveau d’émission de CO2.
Les tarifs réglementés du gaz avaient fait l’objet d’une révision à la hausse de +1,3 % en août. Et ils poursuivront probablement une courbe ascendante au cours des prochains moins. Tel qu’annoncé par la Commission de régulation de l’énergie, leurs prix affichent une progression de +0,6 % depuis le début du mois de septembre. Dans les détails, la variation dépend de la nature de la consommation.
Concrètement, depuis le début du mois, les tarifs réglementés du gaz utilisé pour cuire les repas ont grimpé de +0,2 %. La hausse est de +0,7 % pour le gaz destiné à la production d’eau chaude.
Les ménages qui en font un double usage ont vu leur facture bondir de +0,4 %. Cette progression des tarifs s’inscrit dans le cadre d’un mécanisme de lissage étalé sur plusieurs mois. Le niveau le plus élevé devant être atteint en février 2021.
ImportantLa stratégie consiste à appliquer de légères hausses afin d’éviter une augmentation généralisée et insupportable pour les consommateurs.
En effet, les prix du gaz naturel se sont effondrés au plus fort de la crise sanitaire. Une situation exceptionnelle qui risque cependant d’entraîner une flambée des prix vers la fin de l’année.
Toutefois, il faut savoir que selon la loi Energie et Climat, les prix du gaz cesseront à terme d’être réglementés.
Les contrats aux tarifs réglementés de vente ne sont d’ores et déjà plus disponibles en nouvelle souscription auprès de certains fournisseurs de gaz. Comme chez Engie depuis novembre 2019.
Les clients particuliers dont les tarifs sont déjà réglementés n’ont toutefois pas de soucis à se faire, leurs contrats demeureront valides jusqu’à la fin du premier semestre 2023.
D’ici là, plusieurs messages d’informations seront communiqués aux consommateurs pour qu’ils puissent se préparer à ce changement.
ImportantÀ partir du 1er juillet 2023, les tarifs du gaz chez Engie évolueront en fonction de la conjoncture du marché. Tous les tarifs migreront ainsi automatiquement vers des offres dites « de marché ».
Aussi, en cas de sortie volontaire d’un contrat aux tarifs réglementés de la part du client, il est aujourd’hui impossible de faire marche arrière. Le consommateur devra alors choisir une offre à prix de marché.
Envie de changer de fournisseur ? Il est recommandé de s’informer auprès du médiateur national de l’énergie. L’organisme met à la disposition du public un comparateur d’offres permettant de choisir la formule la plus adaptée en fonction des besoins de consommation des ménages.
La production d’électricité verte en Europe et aux États-Unis a connu une hausse remarquable au cours des six premiers mois de l’année. L’arrêt des activités économiques a entraîné une réduction de la demande énergétique, et de ce fait, une baisse de la part de production électrique d’origine nucléaire et fossile.
Au plus fort de la canicule, les climatiseurs ont tourné à plein régime en Californie, aux États-Unis. Ceci a conduit à une forte hausse de la consommation d’électricité. Et alors que le vent a cessé de souffler, les fournisseurs d’électricité solaire et éolienne ont été contraints de suspendre momentanément leur production. Cette situation inédite amène à s’interroger sur le bien-fondé d’un système énergétique reposant de plus en plus sur les énergies renouvelables.