L’île de Beauté est une région à fort potentiel solaire. Elle bénéficie d’environ 2 900 heures d’ensoleillement par an, un atout qu’elle entend bien exploiter. Selon une récente étude, l’énergie solaire y est accessible à un coût quatre fois inférieur, pour une puissance doublée, en comparaison aux offres du continent.
Décidée à réduire sensiblement les émissions de gaz à effet de serre de son secteur du transport, l’Allemagne s’est fixée comme objectif d’accroître de manière significative la part des biocarburants et des énergies vertes. En effet, le gouvernement vise une hausse de +28 % de la part des carburants renouvelables d’ici 2030 et compte fixer différents quotas pour chaque carburant utilisé.
Selon une étude récente, la plus grande part de la production d’électricité européenne en 2020 provenait des énergies renouvelables. Ces dernières pesaient 38 % du mix énergétique contre 37 % pour les combustibles fossiles. Le nucléaire étant à l’origine du reste. Il s’agit d’un pas historique sur le chemin de la transition énergétique.
La Banque africaine de développement vient d’accorder son appui technique à l’initiative Desert to Power (D2P), laquelle vise à construire un parc photovoltaïque géant dans la région du Sahel. Ce projet transformera cette région désertique en l’un des plus importants sites de production d’énergie solaire de la planète.
Avec 127 projets solaires et éoliens à travers le monde en ce décembre 2020, Amazon compte fonctionner exclusivement avec de l’énergie 100 % renouvelable d’ici 5 ans. D’ailleurs, le géant du commerce en ligne vise la neutralité carbone en 2040. Raison pour laquelle il met l’accent sur le développement de nouveaux projets d’énergie renouvelable destinée à sa consommation.
Dans le cadre de la lutte contre le changement climatique, la Chine a mis au point un réacteur à fusion nucléaire en vue de produire une énergie à faible bilan carbone. La mise en marche du dispositif a été un succès. Encore au stade expérimental, il s’agit de la technologie la plus aboutie en matière de fusion nucléaire.
Tous les grands acteurs de l’énergie se sont lancés dans la course aux énergies renouvelables et fixé des objectifs ambitieux. Comparés aux autres grands groupes du secteur, les fournisseurs historiques français sont en retard dans cette course, mais l’annonce des prochaines réorganisations de leurs activités va contribuer à stimuler leur croissance dans ce domaine.
L’ouverture du marché de l’énergie à la concurrence a permis aux consommateurs français de choisir librement leurs fournisseurs d’électricité et de gaz. Face à la hausse continue des tarifs réglementés et la multiplication des offres disponibles sur le marché, de plus en plus de consommateurs se tournent vers les fournisseurs alternatifs.
Les derniers chiffres d’Eurostat sur la consommation d’énergie primaire et finale dans l’Union européenne à 27 pays membres ont montré que la quantité d’énergie primaire consommée en 2018 était d’environ 5 % supérieur à l’objectif d’efficacité énergétique pour 2020. Ceci était de 3 % supérieur à l’objectif pour la consommation d’énergie finale.
Bon nombre d’entre nous sommes convaincus que face au réchauffement climatique, les énergies renouvelables représentent la solution parfaite puisqu’elles ne nuisent pas à l’environnement. Une affirmation qui n’est pourtant qu’une demi-vérité, à en croire un récent rapport publié par l’ONG Sherpa. Celui-ci explique que leur production a des effets dévastateurs sur l’environnement. Il serait même question de non-respect des droits de l’homme.
La transition écologique a amené les pays membres de l’OPEP+ à accepter une réduction progressive de leur production. Un accord a même été signé en ce sens, avec 7,7 millions de barils par jour en moins. Mais la pandémie de Covid-19 a fait baisser considérablement le prix de l’or noir, si bien que l’engagement initial semble désormais insoutenable pour les producteurs.
Les Américains étant les plus gros consommateurs d’énergie au monde, il paraît intéressant de s’intéresser aux chiffres du secteur pour le pays. Ces dernières années, la composition du mix énergétique des États-Unis a connu une évolution notable, avec une part croissante du gaz naturel et l’essor des sources renouvelables, alors que le pétrole et le charbon sont en perte de vitesse.
Dans l’imaginaire collectif, le nucléaire est associé à la bombe atomique, ou encore aux catastrophes comme celle de Fukushima. Si bien que bon nombre d’associations militent aujourd’hui pour l’abandon total de cette source d’énergie. Mais le nucléaire est-il vraiment néfaste à l’environnement ? Certains scientifiques, preuves à l’appui, maintiennent que non et pensent même que l’abandon du nucléaire serait une erreur.
Le parlement européen a approuvé la loi climat. Ce texte matérialise les engagements pris par les dirigeants des pays européens pour lutter contre le réchauffement climatique dans le cadre de l’accord de Paris. Le continent vise notamment une réduction de 60 % de ses émissions de gaz à effet de serre d’ici la fin de la décennie.
Le coût élevé de leur facture énergétique, il s’agit là de l’un des problèmes majeurs du secteur numérique et principalement du côté des data-centers figurant en tête de liste des acteurs les plus énergivores du système. Une raison suffisante pour les inciter à trouver des solutions permettant de réduire leur consommation électrique.
Quelques obstacles à surmonter et les Français seront, dans une grande majorité, engagés dans la lutte contre le réchauffement climatique. C’est l’un des plus grands enseignements que l’on pourrait tirer des résultats du sondage récemment mené par le cabinet d’étude Ifop auprès des ménages pour le compte du fournisseur d’électricité verte Ilek.
Les autorités étatiques en charge de la transition écologique ont créé un mécanisme d’aide pour encourager les Français à adopter un système de chauffage à la fois efficace et peu énergivore. Plus d’un demi-million d’équipements respectueux de l’environnement devraient être installés d’ici l’année prochaine. Les primes à la rénovation thermique des bâtiments seront mises à contribution pour le financement du dispositif.
L’engouement des développeurs d’énergie solaire pour le désert du Mojave représente une menace pour l’écosystème du coin. C’est du moins, le point de vue de certains scientifiques écologistes qui tablent sur la mise en place d’un mécanisme permettant de concilier ces deux univers destinés à préserver l’état de santé de l’environnement.
Formés en grande partie par des centrales nucléaires, lesquelles couvrent 70 % des besoins en électricité dans l’Hexagone, les réseaux électriques français ne comptent encore jusqu’ici que quelques parcs éoliens et solaires. Néanmoins, la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique ne cesse de s’accroître ces dernières années et l’État envisage de mettre en place de nouvelles installations afin de réduire au minimum les émissions de gaz à effet de serre.
La majorité des fournisseurs d’énergie en France proposent une offre dual à leurs clients. En principe, les consommateurs qui choisissent de souscrire des abonnements de gaz et d’électricité chez un même fournisseur le font par souci de praticité. En effet, cette formule leur simplifie grandement la vie puisqu’ils n’ont affaire qu’à un seul interlocuteur, et donc à une seule facture, pour le gaz et l’électricité.