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Le combustible bleu contribue énormément à hauteur de 22 % dans le mix énergétique européen. Le gaz est aussi un ingrédient essentiel à la production de plusieurs produits industriels, tels que l'ammoniac et l'urée. Comme l’on pouvait s'y attendre, l'envolée des prix commence à détruire la demande en gaz du secteur industriel.
Les dirigeants européens se réunissent de nouveau vendredi 25 mars, afin de discuter des nouvelles sanctions à imposer à la Russie. La question d’un embargo des hydrocarbures russes revient sur la table. Cette perspective inquiète les marchés, où les prix du pétrole et du gaz se remettent à flamber.
La crise de l’énergie sévit en Europe depuis 2021. La guerre en Ukraine ne fait qu’aggraver la situation : les prix à la pompe atteignent des sommets et les factures énergétiques des ménages et des entreprises flambent. Dans ces conditions, le recours aux aides fournies par l’État se révèle inévitable.
De la même manière que ses voisins de l’Union européenne, la France achète une partie non négligeable de son gaz à la Russie. Le pays envisage toutes les pistes pouvant l’aider à sortir de cette situation de dépendance. Une énorme réserve de gaz inexploitée en Lorraine fait partie des solutions sur la table.
Présenté comme le fleuron de l'industrie nucléaire française, le réacteur EPR a enchaîné les déboires financiers et les mésaventures techniques depuis ses débuts. L'annonce de la mise en service du réacteur d'Olkiluoto-3, en Finlande, apporte un immense soulagement aux défenseurs de ce projet. Areva peut maintenant se concentrer sur l'EPR de Hinkley Point et de Flamanville.
Le chef de l’État a fixé depuis plusieurs mois un objectif ambitieux pour le pays : ne plus dépendre du gaz russe d’ici 2027. Les procédures nécessaires pour atteindre cet objectif ont été évoquées à l’occasion de la conférence de presse de la ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et de l’énergie Barbara Pompili le 16 mars dernier.
EDF, le leader du marché de fourniture énergétique, n’a pas été épargné par la crise sévissant dans le secteur. C’est le pilier supportant les mesures d’urgence visant à protéger le pouvoir d’achat des Français. Entre la fermeture de plusieurs de ses réacteurs nucléaires et les hausses des prix de l’énergie, l’entreprise s’attend au pire.
Haussiers depuis le début de l’année, les cours du pétrole et du gaz s’envolent depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Le gaz établit même un nouveau record historique le 8 mars dernier, avant de revenir à des niveaux plus tenables. La nervosité des marchés sur la question ukrainienne ne faiblit pas.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE), dans un récent rapport, propose diverses pistes de solutions pour stabiliser l’accès à l’énergie en Europe. Parmi les éventualités figure la baisse du chauffage pour diminuer la consommation. Cette sobriété énergétique est de plus en plus évoquée parmi les propositions pour s’émanciper de la Russie pour la fourniture en énergie.
Dernièrement, la déclaration de guerre de la Russie contre l’Ukraine, se manifestant par une invasion, a défrayé les chroniques. Ce conflit armé engendre des répercussions économiques et énergétiques dans toute l’Europe. Le prix des énergies a connu une nouvelle flambée. La France prévoit d’instaurer une aide spéciale pour soutenir les entreprises les plus vulnérables.
Trois semaines après le début de l’invasion russe sur l’Ukraine, les cours du gaz dans le monde peinent à retrouver un semblant de stabilité. Ils évoluent au gré des sanctions et des mesures de rétorsion décidées par l’UE ou par la Russie. Pris entre deux feux, les consommateurs particuliers et professionnels s’impatientent.
Comme annoncé depuis l’apparition des premières tensions, l’invasion de l’Ukraine par la Russie a fait s’envoler les prix du gaz sur le marché. En moins de trois semaines, le combustible bleu voit son cours renouer avec les niveaux records observés fin décembre. Pis, cette tendance haussière risque de s’installer durablement.
Sans grande surprise, les cours du pétrole brut et du gaz naturel se sont envolés dans les jours suivant l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Même si cette éventualité a été anticipée par les dirigeants européens, son impact sur l’économie et sur la demande des consommateurs s’annonce pesant.
Historiquement, l'exception française transparaît dans plusieurs secteurs différents et constitue la marque de fabrique de tout un pays. Dans le domaine de l'énergie, l'attachement au nucléaire distingue la France du reste du monde. Ce choix assumé porte aujourd'hui ses fruits : l'électricité française est l'une des plus propres et les moins carbonées en Europe.
Le risque d’une coupure d’approvisionnement en gaz russe, décidé par la Russie ou par l’Union européenne, reste faible, après la dernière réunion des 27. Cela n’empêche pas l’Algérie d’envisager le pire. Le pays dit être en mesure d’augmenter ses livraisons en Europe en cas de réduction ou d’arrêt des importations de gaz russe.
Distancés par la Chine et l’Europe sur l’industrie du vent, les États-Unis affichent clairement leur intention de combler ce retard. Les dernières enchères sur des concessions maritimes dans le « New York Bight » en sont la preuve. Les géants français tels que TotalEnergies, Engie et EDF y ont remporté des lots intéressants.
Il sera possible de payer ses factures de gaz, d’électricité et de téléphone chez le buraliste du quartier vers la fin de l’année. Le ministère de l’Économie compte rajouter 5 000 terminaux à ceux déjà installés dans 6 500 communes. Un système gratuit qui facilitera la vie des personnes qui n’ont pas accès à Internet pour effectuer leurs paiements.
Le monde se défait lentement de sa dépendance au pétrole et au gaz et se tourne de plus en plus vers les énergies renouvelables. Cette transition rencontre toutefois de la résistance, notamment venant de grands groupes pétroliers comme TotalEnergies. La preuve : le géant français vient d’officialiser une nouvelle découverte de gaz et de pétrole au large du Suriname.
Reprenant plusieurs propositions de la convention citoyenne pour le climat, la loi Climat et Résilience, votée en 2021, introduit plusieurs mesures novatrices. L’interdiction de publicité des énergies fossiles en fait partie. Cette disposition entre en vigueur l’été prochain pour le pétrole, l’hydrogène carboné et le charbon. Le gaz naturel, lui, s’offre un sursis d’un an.
Même si la France reste attachée à son parc nucléaire, le pays mise beaucoup sur les énergies renouvelables. Sa capacité électrique renouvelable progresse chaque année, grâce à des raccordements soutenus dans les filières photovoltaïque, biogaz et éolienne. Les nouvelles capacités d’EnR connectées au réseau effacent des tablettes le précédent record de 2017.