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Suite à la forte hausse de la facture de gaz des nouveaux abonnés d’Électricité Strasbourg depuis quelques mois, le fournisseur d’énergie a été contraint de mettre en place une nouvelle offre indexée au TRV. À noter que les ménages ayant souscrit au contrat de gaz non éligible au gel tarifaire mis en place en octobre 2021 sont les plus touchés par l’augmentation de leurs factures (jusqu’à +30 % tous les deux mois).
Face à la flambée des prix de l’énergie aggravée par le conflit en Ukraine, l’UE a décidé de sécuriser son approvisionnement énergétique. Cela passe par la mise en place d’une stratégie visant à se passer du gaz naturel russe.
La hausse des prix de l’énergie touche tous les pays européens sur fond de tensions internationales. Afin de réduire les dépenses des ménages et apaiser la colère sociale, l’Espagne et le Portugal ont appelé au plafonnement du coût du gaz. Cette mesure vient d’être adoptée dans les deux pays, quelques semaines après leur annonce, lors d’un sommet européen.
Plus que jamais, les ménages français redoutent l’arrivée de l’hiver, dans un contexte où le prix de l’énergie connait une flambée inédite et où le conflit russo-ukrainien vient rajouter une inquiétude supplémentaire concernant une éventuelle pénurie de gaz. Malgré tout, les professionnels du secteur se veulent rassurants et confirment le bon déroulement de la constitution de provisions pour l’hiver.
Les réserves de gaz européennes se remplissent comme habituellement, soutiennent les autorités françaises. Pour l’instant, la situation évolue ainsi positivement. De plus, l’Europe continue de recevoir le gaz russe malgré les conflits en Ukraine. Le gaz provenant des États-Unis et de l’Afrique est aussi d’une aide précieuse. Les inquiétudes n’ont donc pas leur place avec le rythme actuel.
Le PDG d’EDF a récemment fait part des actions entreprises contre le gouvernement. En cause, une mesure qui l’oblige à vendre davantage d’électricité à prix réduit aux fournisseurs français. Ceci aurait pourtant entraîné une baisse des résultats de l’entreprise. Elle se trouve ainsi privée des ressources qu’elle devait utiliser pour l’amélioration de la production d’électricité à destination des usagers.
Fortement dépendante du gaz russe, l’Union européenne ne peut pas sanctionner pleinement la Russie pour son attaque de l’Ukraine. Les Vingt-Sept cherchent urgemment à se défaire de cette emprise, en diversifiant leurs sources d’approvisionnement. Cette opportunité semble attirer l’attention de l’Iran, qui étudierait la possibilité de livrer du gaz en Europe.
Cette décision a été prise suite aux requêtes envoyées par les professionnels spécialisés dans la production d’électricité solaire. Ils sont en effet confrontés à la hausse du coût des matériaux. L’État a pris en compte leurs difficultés et choisi de reporter la baisse des prix. Les informations communiquées prévoient une reprise possible des réductions en 2023.
Les deux pays avaient fait part de leur souhait à la Commission européenne en mars 2022. Ils viennent d’obtenir une réponse qui les autorise à appliquer un tarif plafonné. L’objectif est de réduire les charges endossées par les ménages selon les autorités locales. D’ailleurs, l’Espagne a fait face à des tensions dues à la flambée du prix de l’énergie dernièrement.
Depuis son invasion de l’Ukraine, la Russie est entrée en conflit avec l’Union européenne et le reste du monde. Les sanctions économiques de la part des pays occidentaux se succèdent, mais elles constituent une lame à double tranchant. La Russie représente en effet le plus grand fournisseur de gaz du Vieux Continent et trouver une autre source risque d’être un peu plus compliqué que prévu.
La Russie semble être le pays qui tire le plus gros avantage de la crise énergétique actuelle, contrairement à la Suisse, qui est pleinement consciente de sa précarité énergétique. Indirectement, celle-ci compte sur les combustibles russes pour ses importations. Aujourd’hui, elle envisage des solutions pour combler ses besoins en énergie.
D’ici le 15 juin prochain, les 2,8 millions de ménages ayant souscrit à un abonnement au tarif réglementé du gaz recevront un courrier leur indiquant la fin prochaine de ce type de contrat et seront encouragés à en changer. Difficile à concevoir pour l’association de consommateurs CLCV, qui invite les clients concernés à ne pas tenir compte de la lettre.
Depuis son attaque non provoquée sur l’Ukraine, la Russie essuie de nombreuses vagues de sanctions du camp occidental. Jusqu’alors cantonnée aux aspects financiers et aux importations technologiques, l’UE envisage de plus en plus de s’attaquer aux exportations énergétiques du pays. Seul problème : les 27 peinent à s’accorder sur la mise en œuvre de ces mesures de rétorsion.
Depuis plusieurs mois, les prix de l’énergie demeurent instables. Malgré les diverses mesures gouvernementales, que ce soit le bouclier tarifaire ou la diversification des sources énergétiques, les Français eux-mêmes cherchent activement à sécuriser leur approvisionnement. L’une des solutions qu’ils avantagent, c’est l’installation des panneaux solaires pour produire eux-mêmes leur électricité.
Représentant actuellement 1 % de la consommation de gaz dans le pays, le gaz renouvelable pourrait contribuer à la réduction de la dépendance de la France aux importations.
Le projet de construction d’une centrale électrique à Larivot, en Guyane, continue de diviser. D’un côté, EDF et le gouvernement jugent nécessaire de remplacer l’actuelle centrale thermique de Degrad-des-Cannes du fait de son impact environnemental trop important. De l’autre, le Tribunal de Guyane, soutenu par diverses associations, estime que le nouveau projet est encore plus désastreux pour la biodiversité locale.
Il n’est pas nécessaire de modifier les règles actuelles du marché de l’électricité dans l’UE, a précisé l’Acer dans son rapport diffusé le 29 avril dernier. Selon l’agence de coopération de régulateurs de l’énergie, celles-ci ont permis d’assurer la résilience du marché commun et d’éviter les restrictions et les pannes d’électricité.
Bien avant l'invasion de l'Ukraine par la Russie, l'Union européenne a étudié toutes les pistes susceptibles d'alléger sa dépendance vis-à-vis du gaz, du pétrole et du charbon russes. Cette recherche s'est accélérée après le début de la guerre. Les efforts européens semblent porter leur fruit, à en croire les récentes déclarations des responsables allemands.
L’histoire a démontré que le marché du gaz pouvait devenir très instable s’il faisait face à une situation conjoncturelle. Depuis plusieurs mois, l’Europe affronte une grande crise énergétique, ce qui permet à la Russie de consolider sa place de géant de la fourniture de ce précieux combustible et de réaliser des bénéfices considérables.
La consommation de gaz en France commence à reculer depuis le début de l’année. Si certains y voient une conséquence indirecte de la crise de l’énergie et de la flambée des prix, d’autres évoquent plutôt un effet météo et le signe d’une volonté des industriels de réduire leurs dépenses énergétiques.