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La Corée du Sud, à travers la Hyundai Oilbank, s’approvisionnera désormais en gaz naturel auprès de l’Arabie Saoudite, représentée par Saudi Aramco. Cet accord bilatéral a fait naître une entente pour le moins insolite entre les deux pays. En effet, l’Arabie Saoudite s’apprête à récupérer les CO2 issus du gaz qu’elle exporte.
La région du Grand Est produit 78,5 TWH d’électricité chaque année bien que la population et les entreprises installées dans ses territoires ne consomment que la moitié de celle-ci. Le reste de la production est alors destinée à l’exportation. Dans le détail, la majeure partie de l’électricité produite est d’origine nucléaire (82 %), tandis que 10 % sont fournies par les barrages hydrauliques du Rhin.
Actée en 2007, la libéralisation des marchés du gaz et de l’électricité a-t-elle tenu ses promesses ? Assurément non, estime CLCV. Dans un rapport publié récemment, l’association de défense des consommateurs explique que l’arrivée de nouveaux fournisseurs tiers n’a pas permis de faire baisser sensiblement les tarifs, alors qu’aucun d’entre eux n’a réellement su s’imposer.
La reprise des importations gazières des pays du sud de l’Europe a bien fait d’avantager l’Algérie. Du moins, si l’on tient compte du fait que cette situation a permis à ce fournisseur de renforcer sa part du marché auprès des plus gros exportateurs du coin en prenant le dessus sur son plus grand concurrent, la Russie.
Les besoins des internautes évoluent au rythme des technologies ces derniers temps. Une connexion internet très haut débit est devenue un must pour les foyers au Luxembourg suite à l’essor fulgurant du streaming et des jeux vidéo en ligne. D’autre part, le développement du télétravail et de l’usage des objets connectés ont incité un grand nombre d’entre eux à choisir des offres performantes donnant accès à une connexion à 1 Gbit/s.
Le projet devait se concrétiser en septembre 2020, mais a dû être reporté pour cause de pandémie et de crise sanitaire. Aujourd’hui, le territoire du Pays d’Aubagne et de l’Étoile se prépare enfin à la mise en circulation de onze nouveaux autocars plus respectueux de l’environnement, puisque roulant au gaz naturel. Sept communes sont concernées, pour un total de quatre lignes.
Les cryptomonnaies sont destinées à être, à terme, une alternative sérieuse à la monnaie fiduciaire (celle qui est sous forme de billets ou de pièces). Mais outre son côté complexe, cette nouvelle monnaie présente un défaut majeur. Grande consommatrice d’énergie, son exploitation n’est pas en phase avec la transition énergétique. La consommation qu’elle engendre à l’heure actuelle équivaudrait à celle de la ville de Londres.
Le département des Vosges n’a jamais lésiné sur les moyens lorsqu’il s’agit de lutter contre le désenclavement numérique. Cette lutte passe par le déploiement d’infrastructures destinées à améliorer l’accès des ménages à Internet. Un des pionniers de l’ADSL, le département ambitionne une fois de plus d’être reconnu comme chef de file dans le domaine de la fibre optique.
Le gouvernement ne compte plus sur le gaz naturel. La politique de transition énergétique menée par l’exécutif en France tend à supprimer progressivement le gaz naturel de la liste des ressources utilisées pour la production d’énergie. Pourtant, en matière d’empreinte carbone, ce combustible fait indéniablement partie des énergies propres. Malgré tout, le gouvernement préfère miser sur le solaire, l’éolien et le nucléaire.
Dans un récent communiqué, EDF a annoncé avoir réalisé 615 millions d’euros de bénéfice net comptable l’an dernier. Par rapport à son niveau de 2019, ce chiffre est en recul de 88 %. L’EBITDA a également enregistré une baisse organique de 2,7 %, tombant à 16,2 milliards d’euros. Mais en excluant l’impact de 1,5 milliard d’euros de la pandémie sur son excédent brut d’exploitation, cet indicateur aurait connu une croissance de 6,2 %.
Dans un contexte de crise sanitaire et économique, les changements apportés au chèque énergie devraient soulager les ménages modestes. Le plafond de ressources conditionnant l’accès au dispositif a en effet été relevé, permettant d’accroître le nombre de bénéficiaires qui peinent à payer leurs factures d’électricité ou de gaz.
Les discussions avec Bruxelles sur le projet de réorganisation d’EDF traînent en longueur. Néanmoins, des sources proches du gouvernement français ont récemment déclaré que les deux parties pourraient bientôt parvenir à un compromis même si elles n’arrivent pas encore à être sur la même longueur d’onde à propos d’un certain nombre de détails.
Il peut être qualifié de « travailleur de l’ombre », mais il n’en demeure pas moins un acteur majeur en termes de fourniture de contenus pour le web. Lui, c’est Akamai, une société américaine spécialisée dans les serveurs. En gros, son travail consiste à gérer les flux de données, à aiguiller les contenus vers les terminaux des internautes et à éviter les embouteillages.
Engie envisage de créer une nouvelle entité qu’elle cèdera par la suite. Catherine MacGregor, la directrice générale du groupe, a dévoilé les contours de cette réorganisation lors d’une audition devant la Commission des affaires économiques du Sénat le 3 mars dernier. Grâce à cette opération, le géant français du gaz espère dégager des moyens financiers pour renforcer ses investissements dans le GNL, les réseaux de chaleur et les énergies renouvelables (EnR).
Pour le secteur de l’électricité en France, l’épidémie de Covid-19 a fait de l’exercice 2020 une année exceptionnelle, marquée notamment par un repli inédit de 3,5 % de la consommation globale et de la production. La répartition des différents types d’énergie dans le mix énergétique français a également évolué sensiblement.
La fibre optique poursuit son essor à travers la France, notamment grâce à l’accélération de la densification du réseau. L’Autorité des télécoms (Arcep) recense 10,4 millions de foyers connectés à internet via la fibre optique. Parmi eux, 3,3 millions ont signé leur contrat l’an dernier, séduits par ses performances.
L’agglomération Grand-Paris-Sud en collaboration avec le syndicat d’aménagement des rivières souhaite produire du gaz vert à partir de stations d’épuration. Le projet sera mis en œuvre par une société publique locale, baptisée « Confluence Seine Essonne Energie ». Le site sera opérationnel en 2022.
Pour préserver sa santé financière, l’énergéticien souhaite se délester de ses activités jugées non essentielles. Dans sa ligne de mire, la société française spécialisée dans la production de cellules photovoltaïques, Photowatt, figure parmi les entreprises que le groupe veut céder. Pour rappel, le fournisseur d’énergie a pris les rênes de cette entreprise en 2012 sur recommandations des pouvoirs publics pour soutenir la filière photovoltaïque française.
Après un long moment d’attente, les Français ont finalement eu un aperçu du DPE dans sa nouvelle version, grâce à une récente publication du ministère de la Transition écologique et solidaire. Et en y regardant de près, l’on constate que ce document a été profondément remanié dans le but de servir plus efficacement la politique de rénovation énergétique du gouvernement.
En 2020, l’éolien a été à l’origine de 7,9 % de la production d’électricité dans l’Hexagone. Ce pourcentage a été légèrement supérieur à la part des combustibles fossiles qui s’est limitée à 7,5 %. Selon le gestionnaire du réseau électrique RTE, la crise sanitaire a entraîné la baisse de la consommation d’électricité et de la production d’énergies thermiques et, en même temps, la progression de la part des énergies éolienne et solaire.
Le nucléaire représente aujourd’hui près de 10 % du mix électrique mondial. Une proportion en déclin depuis l’accident de Fukushima. Étant donné la progression des besoins en électricité et les vertus de cette énergie du point de vue écologique, les partisans du nucléaire espèrent un accroissement des mises en chantier. Plusieurs facteurs font toutefois que l’avenir de cette filière demeure incertain.
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Malgré la controverse qu’il suscite, le programme de restructuration de la filière électrique a obtenu le feu vert du Parlement et du Sénat. Au grand dam des défenseurs de l’environnement et des opérateurs privés, ce projet va pénaliser la production d’énergies renouvelables et entraver la libre concurrence. Sans compter qu’il va renforcer les prérogatives de la Commission fédérale de l’électricité (CFE) et accorder l’avantage aux énergies fossiles et hydrauliques.
Le plan de restructuration d’EDF qui prévoit de le scinder en 3 entités est en cours de négociation. Si les syndicats s’opposent à cette réforme, le PDG du groupe se montre comme le premier défenseur du projet. Selon l’explication de ce dernier, la division des activités de l’entreprise en EDF Bleu, EDF Azur et EDF Vert est la seule option qui permet à l’État français de remettre sur la table des négociations avec Bruxelles le mécanisme Arenh et d’accroître la rentabilité des activités nucléaires.
Associé aux bombes atomiques, le nucléaire a, pendant longtemps, eu mauvaise presse auprès des populations. Pourtant, à l’heure du réchauffement climatique, ce type d’énergie est une excellente alternative aux énergies fossiles pour produire de l’électricité. La Finlande fait partie des pays qui souhaitent voir le nucléaire prendre une place plus importante dans la production.
Le gaz vert pourrait aussi bien démontrer son utilité sur les constructions neuves que les parcs existants. C’est du moins, le point de vue de Bernard Aulagne, président de Coénove face à l’éventualité que cette source d’énergie puisse être exclue de la RE2020 dont les derniers ajustements ont tendance à se faire attendre.