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Les énergies sont un mal nécessaire. Elles sont au centre de la plupart des activités économiques et du quotidien des ménages. Cependant, elles ont des impacts sur le changement climatique. La ville de New York s’est prononcée en faveur de l’environnement, grâce à une loi réduisant l’usage des sources d’énergie accélérant ce phénomène.
L’arrivée de l’hiver engendre une augmentation des demandes en électricité. Le nucléaire occupe une place d’honneur dans le mix énergétique. L’approvisionnement risque alors d’être perturbé par l’arrêt en urgence de certains réacteurs nucléaires, dont ceux de Chooz, dans les Ardennes, qui sont de la dernière génération. C’est à EDF de remédier à la situation.
L’approbation du gazoduc Nord Stream 2 continuera d’alimenter les débats au moins jusqu’en septembre 2022. Alors que le pipeline géant, qui passe sous la mer Baltique, a été finalisé et partiellement rempli, l’Allemagne prend son temps avant d’autoriser son entrée en service. Le pays vient d’impliquer l’UE dans le débat.
L’Allemagne veut accélérer le développement et la transformation de ses réseaux électriques, pour s’adapter au déploiement de nouvelles centrales solaires et photovoltaïques. Pour le moment, l’installation de ces lignes se déroule à un rythme trop lent. L’opposition des riverains à l’un de ces chantiers ne risque pas d’augmenter la cadence.
Depuis le début de l’année, les prix du gaz sur les marchés financiers n’ont eu de cesse d’augmenter. Les difficultés d’approvisionnement de l’Europe et la reprise économique mondiale y ont fortement contribué. Ces dernières semaines, les cours du GNL semblent s’orienter à la baisse. Des facteurs météorologiques et géopolitiques expliquent cette pression baissière.
Le gouvernement a récemment fait savoir que la distribution des chèques énergie exceptionnels a d’ores et déjà commencé. C’est une mesure prise par l’exécutif pour venir en aide aux consommateurs les plus fragiles. Ils ont été fortement touchés par l’augmentation soudaine des prix de l’énergie depuis la relance des activités économiques.
Les gouvernements éprouvent actuellement de plus en plus de difficulté à faire face à la crise qui résulte de la flambée des prix de l’énergie. L’Espagne est la dernière victime en date de ce phénomène. Le prix du gaz naturel liquéfié vient d’augmenter de 50 % à la suite de la fermeture du gazoduc Maghreb-Europe.
En France, les fournisseurs alternatifs et les grands consommateurs d’électricité bénéficient d’un tarif d’achat compétitif grâce au mécanisme de l’Accès régulé à l’électricité nucléaire historique ou Arenh. Ce dispositif se révèle pourtant insuffisant pour contrer l’explosion des prix depuis cet été. Dos au mur, les industriels en appellent au bon sens du gouvernement.
Début décembre, les médias espagnols ont diffusé un communiqué de la société Enagas annonçant une baisse de débit d’arrivée du gaz pendant trois jours. Cette information suscite l’inquiétude chez les consommateurs locaux, qui craignent un arrêt d’approvisionnement en plein hiver. Les politiques espagnols et les fournisseurs algériens écartent cette possibilité.
Depuis janvier, l’envolée des prix du gaz et de l’électricité fragilise le portefeuille des consommateurs et des entreprises. La situation devenant intenable, les États de l’Union européenne discutent de la meilleure réponse à apporter à cette crise de l’énergie. Pour Madrid et Paris, la solution réside dans une réforme du marché énergétique européen.
La hausse du coût post-confinement de l’énergie ont nécessité des prises de décision urgente. Divers aides, dont le célèbre bouclier tarifaire, ont été annoncées en grande pompe par le gouvernement. Mais par nature, ces mesures ne sont que temporaires. La crise est loin d’être résolu, a fortiori à l’annonce de la hausse prévisionnelle de 25 %.
Le cours du carbone sur le marché européen est resté relativement stable depuis sa création en 2005, hormis quelques poussées d’inflation en 2011, puis en 2018. La situation a beaucoup changé cette année, sur fond de crise énergétique mondiale. Début décembre, le prix des « droits à polluer » établit un nouveau record.
Le développeur Voltalia a annoncé le 6 décembre dernier la signature d’un Power Purchase Agreement avec un groupement d’une dizaine d’entreprises. Le contrat d’achat direct en question porte sur de l’électricité renouvelable produite par une centrale photovoltaïque qui sera construite en Occitanie. La banque LCL a joué un rôle déterminant dans cette transaction.
Le monde est actuellement en pleine mutation. Des notions comme la neutralité carbone et la transition énergétique sont de plus en plus remises à l’ordre du jour. Face à cette situation, les fournisseurs de gaz doivent revoir leur vision à long terme et s’adapter face aux bouleversements à venir.
Le géant gazier russe Gazprom a dévoilé ses résultats du troisième trimestre fin novembre. Sans surprise, la flambée des prix de l’énergie a profité au groupe, qui enregistre un bénéfice net de près de 7 milliards d’euros. Compte tenu du contexte actuel, la compagnie s’attend à un quatrième trimestre tout aussi impressionnant.
L’industrie fait partie des secteurs d’activité les plus polluants – donc les plus concernées par les objectifs de verdissement inscrits dans l’Accord de Paris. Malgré toute leur bonne volonté, les acteurs industriels se trouvent dans l’impossibilité d’entamer leur décarbonation. En cause, les prix vertigineux de l’électricité limitent fortement leur marge de manœuvre.
Depuis mars 2020, l’évolution de la crise sanitaire impacte fortement les prix de l’énergie sur les marchés. La récente découverte de l’Omicron illustre à nouveau cette corrélation. Face aux menaces représentées par ce variant, les marchés observent impuissants à une forte baisse du cours du pétrole brut. Cette inflexion est plutôt bien accueillie au Canada.
Le monde traverse depuis l’été dernier une « crise de l’énergie », qui se traduit par une augmentation rapide des prix de l’électricité, du gaz et du pétrole sur le marché. Fin novembre, les tarifs de gros de ces sources culminent à des niveaux records. Des facteurs politiques et structurels expliquent cette forte volatilité.
Même si la majorité des Français bénéficient de contrats d’électricité et de gaz à tarif fixe, la flambée de l’énergie commence à peser sur le budget des ménages. Se chauffer devient de plus en plus cher pour certains foyers. Ces difficultés profitent aux vendeurs de poêles à granulés, dont les ventes s’envolent.