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Le combustible bleu contribue énormément à hauteur de 22 % dans le mix énergétique européen. Le gaz est aussi un ingrédient essentiel à la production de plusieurs produits industriels, tels que l'ammoniac et l'urée. Comme l’on pouvait s'y attendre, l'envolée des prix commence à détruire la demande en gaz du secteur industriel.
Les dirigeants européens se réunissent de nouveau vendredi 25 mars, afin de discuter des nouvelles sanctions à imposer à la Russie. La question d’un embargo des hydrocarbures russes revient sur la table. Cette perspective inquiète les marchés, où les prix du pétrole et du gaz se remettent à flamber.
De la même manière que ses voisins de l’Union européenne, la France achète une partie non négligeable de son gaz à la Russie. Le pays envisage toutes les pistes pouvant l’aider à sortir de cette situation de dépendance. Une énorme réserve de gaz inexploitée en Lorraine fait partie des solutions sur la table.
Le chef de l’État a fixé depuis plusieurs mois un objectif ambitieux pour le pays : ne plus dépendre du gaz russe d’ici 2027. Les procédures nécessaires pour atteindre cet objectif ont été évoquées à l’occasion de la conférence de presse de la ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et de l’énergie Barbara Pompili le 16 mars dernier.
Haussiers depuis le début de l’année, les cours du pétrole et du gaz s’envolent depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Le gaz établit même un nouveau record historique le 8 mars dernier, avant de revenir à des niveaux plus tenables. La nervosité des marchés sur la question ukrainienne ne faiblit pas.
Dernièrement, la déclaration de guerre de la Russie contre l’Ukraine, se manifestant par une invasion, a défrayé les chroniques. Ce conflit armé engendre des répercussions économiques et énergétiques dans toute l’Europe. Le prix des énergies a connu une nouvelle flambée. La France prévoit d’instaurer une aide spéciale pour soutenir les entreprises les plus vulnérables.
Trois semaines après le début de l’invasion russe sur l’Ukraine, les cours du gaz dans le monde peinent à retrouver un semblant de stabilité. Ils évoluent au gré des sanctions et des mesures de rétorsion décidées par l’UE ou par la Russie. Pris entre deux feux, les consommateurs particuliers et professionnels s’impatientent.
Comme annoncé depuis l’apparition des premières tensions, l’invasion de l’Ukraine par la Russie a fait s’envoler les prix du gaz sur le marché. En moins de trois semaines, le combustible bleu voit son cours renouer avec les niveaux records observés fin décembre. Pis, cette tendance haussière risque de s’installer durablement.
Sans grande surprise, les cours du pétrole brut et du gaz naturel se sont envolés dans les jours suivant l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Même si cette éventualité a été anticipée par les dirigeants européens, son impact sur l’économie et sur la demande des consommateurs s’annonce pesant.
Le risque d’une coupure d’approvisionnement en gaz russe, décidé par la Russie ou par l’Union européenne, reste faible, après la dernière réunion des 27. Cela n’empêche pas l’Algérie d’envisager le pire. Le pays dit être en mesure d’augmenter ses livraisons en Europe en cas de réduction ou d’arrêt des importations de gaz russe.
Le monde se défait lentement de sa dépendance au pétrole et au gaz et se tourne de plus en plus vers les énergies renouvelables. Cette transition rencontre toutefois de la résistance, notamment venant de grands groupes pétroliers comme TotalEnergies. La preuve : le géant français vient d’officialiser une nouvelle découverte de gaz et de pétrole au large du Suriname.
Reprenant plusieurs propositions de la convention citoyenne pour le climat, la loi Climat et Résilience, votée en 2021, introduit plusieurs mesures novatrices. L’interdiction de publicité des énergies fossiles en fait partie. Cette disposition entre en vigueur l’été prochain pour le pétrole, l’hydrogène carboné et le charbon. Le gaz naturel, lui, s’offre un sursis d’un an.
Après quelques semaines d’accalmie, la crise de l’énergie reprend de plus belle depuis l’attaque des forces armées russes sur l’Ukraine. Son issue reste inconnue. Pour se protéger, certains fournisseurs tentent des manœuvres désespérées : proposer aux clients d’abandonner leur contrat de gaz à prix fixe. La CLCV monte au créneau pour dénoncer ces pratiques.
Face à la crise énergétique bouleversant l’Europe, la France a rapidement réagi. Des mesures de protection des consommateurs ont été mises en place, afin d’en limiter les effets sur divers acteurs économiques. Cependant, une partie de sa population, dont beaucoup figurent parmi les plus démunis, en a été exclue.
Enhardie par une reprise économique appréciable l’année dernière, l’Italie a formulé des prévisions ambitieuses pour 2022. Seulement, la hausse continue des prix de l’énergie interfère avec les projections du pays. L’absence de perspectives rassurantes l’oblige à revoir ses objectifs à la baisse. De leur côté, les industriels réclament des mesures d’urgence.
Le bouclier tarifaire est entré en vigueur le 1er février dernier. Ce gel du tarif réglementé du gaz profite à des millions de consommateurs français. Paradoxalement, les ménages les plus vulnérables, dont les locataires des HLM et les résidents des copropriétés, en sont exclus. Ces oubliés exigent des mesures d’urgence du gouvernement.
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