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Selon des experts dans le secteur du trading de produits pétroliers, le marché du CO2 ne cesse de croître et serait même sur le point de supplanter celui de l’or noir. Preuve de son essor remarquable : en Europe, le prix des quotas a grimpé d’environ +50 % depuis le début de l’année. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle de plus en plus d’investisseurs s’intéressent à ce filon prometteur.
Voilà des années qu’une idée d’alliance entre Engie et EDF a été évoquée sans pour autant trouver une issue favorable et retourner au plus vite au placard. Du moins, jusqu’à récemment puisque le sujet est à nouveau sur la table avec, pour cette fois, davantage de chance de réussite si l’on tient compte des différents acteurs œuvrant en sa faveur.
L’État multiplie les initiatives pour stimuler la filière du biogaz et du biométhane. Par un décret récent, il a désigné les gros fournisseurs de gaz comme « acheteurs de dernier recours » de la production de biométhane. Ces derniers ont désormais l’obligation d’acheter du biogaz à tout producteur qui le leur propose.
Le déconfinement progressif entamé depuis la mi-mai relance l’activité des entreprises et des industries. Ce redémarrage se traduit par un retour à la hausse des dépenses en gaz et en électricité, lesquelles se situent fin juin à seulement -6 % de leur niveau « normal », après avoir lourdement chuté en mars et en avril.
Cela fait un certain temps que les tarifs réglementés du gaz ont fondu de manière progressive. Cette tendance devrait prochainement s’inverser. Dans un communiqué récent, la CRE (Commission de régulation de l’énergie) a indiqué que les prix du gaz allaient augmenter d’ici la fin de l’année. La première révision interviendra probablement au mois de juillet prochain.
Après la France et les États-Unis, le Japon vient s’ajouter à la liste des pays qui investissent dans la production de gaz naturel liquéfié en Mozambique. Ce pays, qui possède les plus importantes réserves des pays d’Afrique centrale, figure désormais parmi les premiers producteurs de GNL dans le continent.
Selon le dernier rapport annuel de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) publié le 10 juin, la consommation mondiale de gaz naturel devrait chuter en 2020. Le confinement dû à l’épidémie de Covid-19 est l’une des principales causes de la chute, laquelle devrait, selon l’AIE, toucher tous les secteurs et toutes les régions du globe.
La transition énergétique ne se limite pas seulement au trafic routier. Le transport maritime est également un grand consommateur de carburants d’origine fossiles, d’où l’urgence de trouver rapidement une alternative viable. À l’heure actuelle, le gaz naturel liquéfié (GNL) est la piste la plus probante, mais sa production demeure coûteuse et des efforts restent à fournir.
Depuis le 1er juillet, une diminution supplémentaire de 0,3 % est appliquée aux tarifs réglementés de vente de gaz naturel d’Engie. Le mouvement de lissage de la baisse semble cependant ralentir, puisqu’en juin, le taux de repli s’élevait à 2,8 %. Une nouvelle décrue est attendue vers le mois de février 2021.
Malgré la crise de la Covid-19 qui sévit dans le monde, le mégaprojet de gaz naturel liquéfié du Mozambique, exploité par Total, avance à grands pas. Le géant français serait en négociations avancées avec des armateurs japonais et grecs pour peaufiner la logistique export du combustible vers l’Europe et l’Asie.
Engie continue de laisser de bons souvenirs aux consommateurs à travers les TRV. Pour le dire, il suffit de se référer à la série de baisses de tarifs enregistrées auprès de ce secteur depuis que le gouvernement a décidé de mettre un terme à ce type de contrat. Une tendance baissière qui s’est à nouveau manifestée en début avril.
Voilà un bon bout de temps que la Loi Énergie et Climat a prévu l’extinction progressive des tarifs réglementés de vente de gaz et d’électricité. Une fin qui s’approche désormais à pas de géant pour les professionnels si l’on tient compte du fait que la première date en vue est programmée pour le 1er décembre de 2020.
Une mauvaise nouvelle se profile pour les clients d’Engie encore rattachés aux tarifs réglementés de vente du gaz. C’est du moins, ce qu’a laissé entendre la Commission de régulation de l’énergie qui a récemment fait valoir que cette catégorie de clientèle habituée à la baisse des TRV depuis des mois devrait s’attendre à une tendance haussière pour le reste de l’année.