Appel & Service gratuit
L’exécutif a récemment fait part des objectifs qu’il s’est fixés afin d’honorer ses engagements en faveur du climat. La France réduira d’un peu plus de la moitié son taux d’émission de carbone avant 2030, afin d’atteindre la neutralité carbone 20 ans plus tard. Pour y arriver, l’exécutif table sur des défis énergétiques des plus ambitieux.
Le parc nucléaire domine largement le mix énergétique actuel. Avec 56 réacteurs, sa production électrique est une des plus importantes du monde. La vétusté des centrales aurait dû sonner le glas de cette énergie. Cependant, l’organe exécutif a décidé de construire de nouveaux réacteurs, donnant une seconde jeunesse au parc nucléaire.
À l’instar de la plupart des pays européens, la France avance à grands pas sur le chemin de la mise en place d’une énergie verte. Les autorités compétentes en matière énergétique, pleinement conscientes que les engagements climatiques auront des impacts sur la consommation en énergie, commencent à faire des prévisions sur le long terme.
L’exécutif est longtemps resté ambigu concernant l’éventualité de produire de nouveaux réacteurs nucléaires. Mais dernièrement, il s’est prononcé positivement en faveur d’un tel projet. Le premier fournisseur énergétique EDF a eu un regain d’enthousiasme pour négocier le rachat prochain de turbines détenues par General Electric depuis un peu plus de cinq ans.
La situation énergétique semblait extrêmement précaire à l’arrivée de l’hiver. Avec la baisse de production des centrales nucléaires, les instances gouvernementales ont dû trouver des moyens de renforcer la fourniture générale d’électricité. Un assouplissement des limitations sur l’émission carbone a incité les centrales à charbon à augmenter leur production pendant la saison la plus froide de l’année.
Les centrales nucléaires occupent encore une place essentielle dans le mix énergétique français. Dans le contexte de la crise énergétique, qui s’est manifesté à partir du déconfinement, leurs productions devaient contribuer à assurer la continuité de l’approvisionnement des consommateurs. Mais des techniciens ont constaté des anomalies sur plusieurs réacteurs, entraînant leur arrêt.
Libéral, le marché du gaz et de l’électricité français attire depuis quelques années plusieurs « petits » fournisseurs. Mais leur aventure a tourné court sous l’effet de la crise de 2021. Pour ne pas sombrer, ces compagnies sont passées sous le giron d’un énergéticien plus solide. Plüm est la dernière à choisir cette voie.
Les Français et les Européens ne sont pas les seuls frappés par l’envolée des prix de l’énergie depuis l’année dernière. De l’autre côté de la Manche, l’Angleterre subit également cette inflation. Les consommateurs locaux risquent d’ailleurs de connaître une hausse de 50 % du plafond tarifaire imposé aux fournisseurs d’énergie.
En septembre dernier, le Premier ministre a promis de limiter l’augmentation du tarif réglementé de vente. C’était un engagement risqué, connaissant la flambée des prix de l’énergie durant cette période. Mais le gouvernement a respecté sa parole : la hausse du TRV a été contenue à 4 % au 1er février.
Isotope Energy, fournisseur d’énergie 100 % nucléaire (ou presque), devait lancer ses offres début 2022. Mais finalement, il a dû suspendre ses activités de développement pour l’instant. Pour cause : la flambée des prix de l’électricité de gros qui a déjà mis à mal plusieurs fournisseurs en France comme partout en Europe.
L’économie de demain reposera beaucoup sur l’électricité, surtout le secteur du transport. Les industriels anticipent déjà cette transition et construisent des méga-usines de production de batteries. C’est le cas de Britishvolt, dans le projet de gigafactory située à Blyth, qui vient de conclure une impressionnante levée de fonds auprès du gouvernement britannique et d’investisseurs privés.
L’année 2021 restera dans les annales pour la hausse historique des prix de l’énergie, sous l’effet du rebond économique post-Covid et de la crise des livraisons de gaz russe. Marqués par ces événements, les États membres de l’UE se sont promis de remettre à plat le marché européen de l’énergie.
Le fournisseur d’électricité Bulb n’est plus autorisé à vendre de l’énergie en France, d’après un arrêté publié récemment. La filiale de Simple Energy avait déjà annoncé, deux jours avant cette décision, la suspension de ses activités en France à cause de la hausse fulgurante des prix de l’énergie de gros.
Au cours de l’année 2021, les prix de l’énergie sur les marchés de gros ont atteint des niveaux historiques. Cette forte inflation devait entraîner une hausse proportionnelle de la facture d’électricité des consommateurs cette année. Mais, le gouvernement est intervenu, en limitant l’augmentation du tarif réglementé de vente à 4 %.
Afin de protéger les consommateurs et les industriels, l’État a demandé à EDF d’augmenter de 20 % le volume d’électricité distribuée via le mécanisme de l’ARENH. Cette mesure devrait amoindrir la hausse de la facture énergétique des ménages et des électro-intensifs, si toutefois tous les fournisseurs se mettent au diapason.
L’électricité française fait partie des plus abordables et des moins polluantes au monde, grâce à l’apport majoritaire du nucléaire. La forte présence de l’atome dans le mix électrique national représente également un risque en cas de pannes ou de problèmes de sécurité dans les centrales. Or, ce scénario semble se réaliser en 2022.
Sans l’intervention de l’État, les prix de l’électricité en France auraient pu devenir vraiment handicapants à partir du 1er février. En revanche, la décision du gouvernement impacte aussi les résultats d’EDF, l’exploitant du parc de centrales nucléaires en France. L’augmentation du plafond de l’ARENH, profitable aux consommateurs, est une mauvaise nouvelle pour les finances de l’entreprise.
Historiquement, l'exception française transparaît dans plusieurs secteurs différents et constitue la marque de fabrique de tout un pays. Dans le domaine de l'énergie, l'attachement au nucléaire distingue la France du reste du monde. Ce choix assumé porte aujourd'hui ses fruits : l'électricité française est l'une des plus propres et les moins carbonées en Europe.
L’exécutif a récemment fait part des objectifs qu’il s’est fixés afin d’honorer ses engagements en faveur du climat. La France réduira d’un peu plus de la moitié son taux d’émission de carbone avant 2030, afin d’atteindre la neutralité carbone 20 ans plus tard. Pour y arriver, l’exécutif table sur des défis énergétiques des plus ambitieux.
À l’instar de la plupart des pays européens, la France avance à grands pas sur le chemin de la mise en place d’une énergie verte. Les autorités compétentes en matière énergétique, pleinement conscientes que les engagements climatiques auront des impacts sur la consommation en énergie, commencent à faire des prévisions sur le long terme.
Le parc nucléaire domine largement le mix énergétique actuel. Avec 56 réacteurs, sa production électrique est une des plus importantes du monde. La vétusté des centrales aurait dû sonner le glas de cette énergie. Cependant, l’organe exécutif a décidé de construire de nouveaux réacteurs, donnant une seconde jeunesse au parc nucléaire.
L’exécutif est longtemps resté ambigu concernant l’éventualité de produire de nouveaux réacteurs nucléaires. Mais dernièrement, il s’est prononcé positivement en faveur d’un tel projet. Le premier fournisseur énergétique EDF a eu un regain d’enthousiasme pour négocier le rachat prochain de turbines détenues par General Electric depuis un peu plus de cinq ans.
Faites des économies, suivez l’activité de vos comptes et simulez un achat immobilier ou un crédit consommation.
Suivez la performance de tous vos contrats (assurance vie, retraite, immobilier, défiscalisation) et re-versez facilement. Garantie 0 paperasse.
Sécurisez votre chiffre d’affaires immobilières, gagnez en efficacité lors des premières visites, développez votre business au delà de l’immobilier et travaillez votre image et votre réputation.
Attention, vous pouvez être sollicités par de faux conseillers Meilleurtaux vous proposant des
crédits et/ou vous demandant de transmettre des documents, des fonds, des coordonnées bancaires,
etc.
Soyez vigilants · Meilleurtaux ne demande jamais à ses clients de verser sur un compte les sommes
prêtées par les banques ou bien des fonds propres, à l’exception des honoraires des courtiers. Les
conseillers Meilleurtaux vous écriront toujours depuis une adresse mail xxxx@meilleurtaux.com
Vous avez un doute sur l’un de vos contacts ou pensez être victime d’une fraude ? Consultez notre guide.