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La région du Grand Est produit 78,5 TWH d’électricité chaque année bien que la population et les entreprises installées dans ses territoires ne consomment que la moitié de celle-ci. Le reste de la production est alors destinée à l’exportation. Dans le détail, la majeure partie de l’électricité produite est d’origine nucléaire (82 %), tandis que 10 % sont fournies par les barrages hydrauliques du Rhin.
Actée en 2007, la libéralisation des marchés du gaz et de l’électricité a-t-elle tenu ses promesses ? Assurément non, estime CLCV. Dans un rapport publié récemment, l’association de défense des consommateurs explique que l’arrivée de nouveaux fournisseurs tiers n’a pas permis de faire baisser sensiblement les tarifs, alors qu’aucun d’entre eux n’a réellement su s’imposer.
Les cryptomonnaies sont destinées à être, à terme, une alternative sérieuse à la monnaie fiduciaire (celle qui est sous forme de billets ou de pièces). Mais outre son côté complexe, cette nouvelle monnaie présente un défaut majeur. Grande consommatrice d’énergie, son exploitation n’est pas en phase avec la transition énergétique. La consommation qu’elle engendre à l’heure actuelle équivaudrait à celle de la ville de Londres.
Dans un récent communiqué, EDF a annoncé avoir réalisé 615 millions d’euros de bénéfice net comptable l’an dernier. Par rapport à son niveau de 2019, ce chiffre est en recul de 88 %. L’EBITDA a également enregistré une baisse organique de 2,7 %, tombant à 16,2 milliards d’euros. Mais en excluant l’impact de 1,5 milliard d’euros de la pandémie sur son excédent brut d’exploitation, cet indicateur aurait connu une croissance de 6,2 %.
Les discussions avec Bruxelles sur le projet de réorganisation d’EDF traînent en longueur. Néanmoins, des sources proches du gouvernement français ont récemment déclaré que les deux parties pourraient bientôt parvenir à un compromis même si elles n’arrivent pas encore à être sur la même longueur d’onde à propos d’un certain nombre de détails.
Pour le secteur de l’électricité en France, l’épidémie de Covid-19 a fait de l’exercice 2020 une année exceptionnelle, marquée notamment par un repli inédit de 3,5 % de la consommation globale et de la production. La répartition des différents types d’énergie dans le mix énergétique français a également évolué sensiblement.
Pour préserver sa santé financière, l’énergéticien souhaite se délester de ses activités jugées non essentielles. Dans sa ligne de mire, la société française spécialisée dans la production de cellules photovoltaïques, Photowatt, figure parmi les entreprises que le groupe veut céder. Pour rappel, le fournisseur d’énergie a pris les rênes de cette entreprise en 2012 sur recommandations des pouvoirs publics pour soutenir la filière photovoltaïque française.
En 2020, l’éolien a été à l’origine de 7,9 % de la production d’électricité dans l’Hexagone. Ce pourcentage a été légèrement supérieur à la part des combustibles fossiles qui s’est limitée à 7,5 %. Selon le gestionnaire du réseau électrique RTE, la crise sanitaire a entraîné la baisse de la consommation d’électricité et de la production d’énergies thermiques et, en même temps, la progression de la part des énergies éolienne et solaire.
En France, les énergies renouvelables poursuivent leur essor. En 2020, la part des installations hydrauliques et éoliennes à la production électrique du pays a atteint 26,9 %, un chiffre en hausse de quatre points sur un an. C’est ce que révèle un récent rapport établi par le Syndicat des énergies renouvelables (SER).
La crise sanitaire a lourdement affecté la performance d’EDF au cours de l’exercice 2020. Le résultat net du fournisseur d’énergie a accusé un important recul de -87,4 % à 650 millions d’euros. Les surcoûts liés aux retards sur les chantiers nucléaires ont également plombé le bilan du groupe, ainsi qu’un litige fiscal avec l’administration.
Très en vogue dans les pays scandinaves, les contrats de fourniture d’électricité à prix variables sont un concept encore peu connu en France. Pourtant, ils pourraient être la solution idoine pour réduire de manière conséquente la facture d’électricité des ménages. Le principe est simple : les prix sont indexés sur le marché de gros et évoluent en fonction de la demande. Barry, un fournisseur danois, souhaite expérimenter ce mode de tarification en France.
Le système d’approvisionnement électrique en Suède s’appuie en grande partie sur les énergies renouvelables. Ayant fixé comme objectif de bannir les énergies fossiles de son mix énergétique d’ici 2040, ce pays d’Europe du Nord a remplacé ses centrales à charbon et nucléaires par des parcs éoliens.
C’est la douche froide pour les habitants du Texas. Alors qu’ils viennent de vivre l’hiver le plus froid jamais enregistré depuis 30 ans, et qui les a privés d’eau, de courant et de chauffage pendant plusieurs jours, voilà qu’un autre problème surgit. Leurs factures d’électricité ont explosé. En effet, le prix de l’électricité, dont le montant est indexé sur le niveau de la demande, a flambé. Ce qui a provoqué une forte hausse du coût de l’énergie.
Dans l’Hexagone, Orange fait partie des entreprises à prendre une part active à la course vers la transition énergétique. Dans ce sens, tout indique que l’enseigne vient d’enclencher la vitesse supérieure en s’alliant avec un acteur de poids qui devrait l’aider dans l’atteinte de ses ambitieux objectifs en matière d’approvisionnement en électricité renouvelable.
L’Agence internationale de l’énergie a passé au crible le développement énergétique de l’Inde. Le document rapporte une croissance fulgurante de la production et de la consommation énergétique du pays à partir de l’année 2000, avant d’être ralentie par la pandémie. Le pays fait également face à plusieurs défis concernant l’évolution de son mix énergétique.
Le géant pétrolier français Total entame son évolution et annonce le changement de son nom en TotalEnergies. Ceci reflète une nouvelle stratégie qui consiste à miser davantage sur les énergies renouvelables en vue de pouvoir faire face aux enjeux de la transition écologique.