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L’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) va lancer un label pour l’électricité verte en septembre 2021. Ceci vise à faciliter la distinction entre les offres vertes classiques et les offres vertes premium. En ce moment, les fournisseurs mettent en avant des garanties d’origine pour prouver aux consommateurs que l’électricité injectée dans les réseaux électriques est verte.
En 2020, la demande mondiale en électricité a enregistré une baisse historique à cause du confinement, qui a entrainé un ralentissement brutal de l’activité. Dans un climat d’incertitude quant aux conséquences de la crise en pleine deuxième vague, l’Agence internationale de l’énergie (AIE) ne table que sur une croissance d’environ 3 % en 2021.
Les marchés énergétiques français ont été libéralisés le 1er juillet 2007. L’objectif était de favoriser l’émergence d’offres plus compétitives. Sauf que, malgré cette apparente libéralisation, l’existence des tarifs réglementés constituait un obstacle au développement d’une concurrence effective. Face à cette anomalie, l’État a décidé de corriger le tir et de ne plus encadrer les prix. Les contrats réglementés de fourniture de gaz ont ainsi pris fin le 1er décembre dernier pour les consommateurs professionnels. Quant à l’électricité, la suppression est prévue pour le 1er janvier prochain.
Voilà des mois que la filière énergie du Royaume-Uni traverse une période difficile se manifestant essentiellement à travers des problèmes d’approvisionnement en électricité. Ce qui explique le choix du gouvernement britannique de faire appel à EDF pour lui prêter main-forte dans la réalisation de ses projets énergétiques destinés à rétablir l’équilibre.
Alors que les offres incluant l’option heures pleines/heures creuses ont séduit des millions de ménages au fil des années, il semble qu’elles ne soient plus rentables pour 85 % des souscripteurs. Pire, selon Le Parisien, elles feraient perdre de l’argent à un abonné sur deux, quand l’objectif est de réaliser des économies.
En vertu de la loi Énergie Climat parue dans le Journal officiel du 8 novembre 2019, les tarifs réglementés de l’électricité pour la clientèle professionnelle cesseront de s’appliquer à partir du 1er janvier prochain. C’est l’occasion pour ces abonnés de mettre les offres de marché en concurrence et réaliser des économies substantielles.
La facture énergétique des ménages augmente de manière considérable dès lors que le mercure commence à descendre. Au cours des six dernières décennies, les usagers ont souscrit à l’option « heures pleines/heures creuses » (HPHC) pour limiter la hausse de leurs dépenses d’électricité. Selon les analystes, cette option tarifaire aurait perdu tout son intérêt. Elle coûte désormais plus cher que la tarification de base.
La durée de vie d’une centrale nucléaire est initialement de quarante ans. Plus de la moitié du parc de réacteurs français atteindra cette limite d’âge au cours de la prochaine décennie. Face aux besoins en électricité du pays, l’Autorité de sûreté nucléaire envisage d’autoriser l’exploitation des centrales du pays pour quelques années de plus, sous certaines conditions.
Jusqu’ici, le prix du kilowattheure pratiqué par le fournisseur historique français se révèle être beaucoup moins cher que ceux des autres pays européens. Mais contraint de réaliser de travaux de mise à niveau de son parc nucléaire en vue de renforcer la sécurité des centrales, EDF devrait réviser ses tarifs à la hausse. Et l’annonce d’une prochaine augmentation du prix fait bondir le titre du groupe sur le marché boursier.
Les sites éducatifs pourraient bientôt être exclus des forfaits internet des familles modestes si le projet annoncé par Nathalie Elimas, secrétaire d’État en charge de l’éducation prioritaire se concrétise. Prévue s’appliquer d’ici à la rentrée prochaine, cette mesure, bien que pertinente, n’est pas facile à mettre en place, car elle ne serait pas conforme au principe de la neutralité du Net.
Dans sa stratégie de la lutte contre le réchauffement climatique, la France comme certains pays de l’Europe a jugé utile de procéder à la fermeture progressive de ses centrales nucléaires dans le but de limiter le taux d’émission de CO2. Un choix qui a permis aux centrales à charbons de renaître de leurs cendres.
À l’approche de l’hiver, Capital a souhaité alléger les dépenses de chauffage des ménages. Dans cette optique, il a négocié une offre exclusive avec le fournisseur d’énergie verte collaborative Ekwateur, laquelle permet de bénéficier de 14 % de remise sur le prix du kilowattheure hors taxe (par rapport aux tarifs réglementés) et de deux mois d’abonnement d’électricité (HT) gratuits.
Il s’agit de l’un des plus gros défis de la transition énergétique : le passage à l’énergie renouvelable pour couvrir l’intégralité de la consommation électrique en France. Ce processus devra se faire par étapes et un premier objectif a déjà été fixé. Sauf qu’à l’allure à laquelle avance le raccordement des parcs solaires et éoliens, des retards significatifs vont être enregistrés.
Afin d’apporter sa contribution dans la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre et d’améliorer le confort des visiteurs, le parc Disneyland Paris va installer des ombrières photovoltaïques sur une surface de 17 hectares occupée par des places de stationnement. Il s’agirait de l’une des plus grandes centrales photovoltaïques en ombrières d’Europe. Elle comportera 67 500 panneaux pouvant générer 31 GWH par an d’ici deux ans.