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Dans l’Hexagone la consommation d’électricité est soumise à un mécanisme de taxation qui devrait bientôt se montrer sous un nouveau jour selon l’article 13 du projet de loi de finances (PLF) 2021. Celui qui apportera des changements au système dès l’année prochaine au risque de faire grimper le poids de la facture liée à cette source d’énergie dans certains cas.
Pour les Français, la lutte contre le réchauffement climatique passe aussi par la transition énergétique. Dans cette optique, leur attirance grandissante pour l’électricité verte n’est plus à prouver. Une piste à exploiter pour les fournisseurs d’énergie qui se doivent cependant de surpasser un sérieux obstacle. Celui qui empêche la majorité de franchir le pas.
Au moment de fermer la centrale nucléaire de Fessenheim, le RTE, gestionnaire du réseau électrique en France, était confiant. La fermeture étant annoncée plusieurs mois à l’avance, les acteurs ont eu le temps de se préparer pour combler les capacités perdues. Mais c’était sans compter sur la pandémie de Covid-19 et des aléas de la météo.
Dans un contexte de baisse de la consommation d’électricité mondiale avec la pandémie, les énergies renouvelables ont poursuivi leur essor. L’Agence internationale de l’énergie (AIE) estime que leur part sur la production totale d’électricité en 2025 atteindra 33 %. Elles devanceraient ainsi le charbon, s’imposant comme la source numéro un à travers le monde.
Pour l’Europe, la lutte contre le réchauffement climatique passe avant tout par la décarbonisation de sa production d’électricité. Dans cette optique, l’Union européenne s’est d’ailleurs accordé un délai pour atteindre l’objectif qu’elle s’était fixé en sachant qu’elle aura encore à franchir de nombreux obstacles avant d’espérer y parvenir à temps.
Lesquels des pétroliers, des gaziers ou encore des fournisseurs d’électricité sont les plus gros producteurs d’énergie dans le monde ? C’est à cette question qu’ont tenté de répondre les analystes de la banque américaine Morgan Stanley. Dans une étude récente, ceux-ci ont cherché à dresser un classement des différents acteurs du secteur en fonction de la quantité d’énergie qu’ils ont généré au cours de l’année dernière.
Considéré comme un atout majeur dans la lutte contre le réchauffement climatique, l’hydrogène est présenté comme une solution d’avenir pour décarboner le secteur électrique. Un « plan hydrogène » a d’ailleurs été mis en œuvre pour verdir la production d’électricité, développer son usage dans la mobilité et exploiter son potentiel pour le stockage des énergies renouvelables. Il reste que cette nouvelle source d’énergie se heurte aujourd’hui à de nombreuses critiques.
En Biélorussie a récemment vu le jour une centrale nucléaire qui devrait produire énormément d’électricité dès le lancement imminent de son premier réacteur en novembre 2020. De l’énergie qui devrait être essentiellement commercialisée auprès des pays baltes qui n’ont cependant pas manqué d’évoquer leurs craintes quitte à faire machine arrière.
L’Arenh est un mécanisme mis en place pour contraindre le fournisseur historique EDF de vendre 25 % de sa production nucléaire annuelle à ses concurrents (100 TWh). Seulement, lorsque la demande excède ce volume prédéfini, les fournisseurs alternatifs ne reçoivent qu’une partie de la quantité d’énergie à laquelle ils ont droit. Ils n’ont alors pas d’autres choix que de s’approvisionner sur le marché des gros, à des prix plus élevés. Inévitablement, ceci a des répercussions sur les prix proposés aux consommateurs.
Le Réseau de Transport d’Électricité (RTE) redoute une vague de froid exceptionnelle cet hiver. En effet, le gestionnaire du réseau électrique de l’Hexagone risquerait de ne pouvoir assurer la fourniture en électricité de tous les ménages. Des pistes sont envisagées pour soulager le réseau et éviter le black-out.
Si la course à l’électrification du matériel roulant semble bien engagée, le problème de l’insuffisance des bornes de recharge des véhicules électriques demeure. Les supermarchés et les hypermarchés ont bien compris l’intérêt d’en installer sur leurs vastes parkings. Bon nombre d’enseignes n’ont pas attendu longtemps pour saisir l’occasion de le faire.
Depuis le 25 octobre dernier, c’est l’heure d’hiver qui s’applique en Europe. Autrement dit, les habitants ont dû reculer leur montre d’une heure. Instauré dans le but d’économiser l’énergie, le changement d’heure n’a jamais vraiment démontré son efficacité. Une étude récente s’est d’ailleurs penchée sur l’impact de ce dispositif sur la consommation énergétique des ménages. Les résultats de l’enquête montrent que les gains réalisés sont relativement insignifiants.
Dernièrement, les analystes s’accordent à dire que le secteur de l’énergie est en pleine phase de révolution. Ce, en pointant du doigt les capitalisations boursières fortement bouleversées par la montée en force de la transition énergétique se manifestant essentiellement à travers l’effondrement des cours de Bourse des compagnies pétrolières dominant le système depuis des siècles.