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En France, plus que dans d’autres pays, force est de constater que les propos incitant à la haine et à la violence sur internet ont pris de l’ampleur ces derniers temps. Une recrudescence que les pouvoirs publics tentent de limiter sauf que dans la plupart des cas, les circonstances sont loin de jouer en leur faveur.

À travers un comparatif internet, la Chancellerie a découvert qu’au niveau national, la tendance est à la hausse en ce qui concerne les propos haineux publiés sur les réseaux sociaux et autres outils digitaux. Ce qui est loin d’être réjouissant puisqu’in fine, cette situation peut conduire à des actes de violence. L’assassinat de Samuel Paty en octobre dernier en est une preuve qui a marqué l’esprit de tous.

Ce qui explique d’ailleurs le choix des pouvoirs publics de multiplier les efforts dans la lutte contre la propagation de ce genre de publication. Une bataille qui est loin d’être gagnée étant donné que les obstacles sont bien nombreux.

Les impacts peuvent être désastreux

ImportantPour de nombreux pays à travers le monde, la lutte contre les contenus incitant à la haine et à la violence sur internet fait partie des priorités.

La raison est simple, les impacts peuvent être désastreux si ce n’est que de prendre en exemple le cas de la France qui en a récemment fait l’expérience.

Entendons par là l’assassinat de Samuel Paty qui a trouvé origine auprès des publications haineuses affichées un peu partout sur le net à travers des tweets, des posts, des blogs, des snaps ou des mails.

Et il ne s’agit pas d’un cas isolé puisque d’autres attaques ont été enregistrées si ce n’est que de prendre en compte le fait que Samuel Paty est répertorié comme la 260ème victime des attentats perpétrés sur le sol français et que peu après, quatre autres individus ont trouvé la mort à Nice et à Vienne dans pareilles circonstances.

La lutte contre les propos haineux est de mise, mais

Que ce soit à travers les menaces de mort, la diffamation, les insultes ou les propos racistes, il va sans dire que dans certains cas, les messages de haine et de violence publiés dans l’univers virtuel peuvent inciter certains individus à commettre l’irréparable dans la vie réelle.

Ce qui explique en outre les efforts des gouvernements dans la lutte contre la publication de ces contenus dangereux, sauf qu’ils sont peu armés pour y parvenir si l’on croit la Chancellerie dans son rapport publié en début novembre concernant le cas de Samuel Paty. Cette note qui a fait savoir que depuis ce meurtre, près de 200 enquêtes ont été menées par la section policière de la cybercriminalité, mais sans trop de succès tant les obstacles aux investigations sont nombreux. À savoir :

  • L’anonymat est souvent la règle lors des publications ;
  • Les délits peuvent être effectués de partout à travers le monde via des réseaux et des plateformes hébergées dans différents pays ;
  • L’interpellation des auteurs est des plus complexes.

Concernant ce dernier point, il faut préciser que pour y parvenir, les policiers se doivent d’obtenir la collaboration des plateformes en notant que dans la plupart des cas, ces dernières n’hésitent pas à montrer leur réticence. Raison pour laquelle le recours aux réquisitions judiciaires est de mise, mais là encore, les enquêteurs tricolores font face à un mur étant donné que d’une manière générale, les GAFAM sont des firmes américaines.

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